logologo
AideLoading...
Samedi 21 septembre, 10h00, 11h00Passé
Conditions
Gratuit. Réservation obligatoire. Lieu de rendez-vous : entrée principale du lycée.
Septembre 2024
Samedi 21
10:00 - 11:00
11:00 - 12:00

Lycée Max Linder

43 allées Robert-Boulin 33505 Libourne
  • Gironde
  • Nouvelle-Aquitaine

Une histoire de Bahut : le lycée Max-Linder

Les élèves du lycée Max Linder vous proposent de découvrir les richesses patrimoniales de leur établissement.
Samedi 21 septembre, 10h00, 11h00Passé
Conditions
Gratuit. Réservation obligatoire. Lieu de rendez-vous : entrée principale du lycée.
©Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel. Adrienne Barroche, 2016

Les élèves du lycée Max Linder vous proposent de découvrir les richesses patrimoniales de leur établissement.

Au fil d’une visite guidée, ils partageront avec vous l’histoire de sa construction qui fut dirigée dans les années cinquante par l’architecte prestigieux Jacques Carlu, architecte des Bâtiments Civils et des Palais Nationaux, connu entre autre pour avoir réalisé le Palais de Chaillot à Paris.
La visite vous fera découvrir les nombreuses œuvres artistiques que le lycée abrite au titre du 1% artistique et réalisées par des artistes reconnus tels que le céramiste et sculpteur Charles Barberis, le sculpteur Paul Belmondo, les peintres Charles Souverbie, Charles Sahuguet ou encore Jean Dupas, peintre bordelais, auteur notamment des fresques de la Bourse du Travail à Bordeaux.
Projet pédagogique dans le cadre du dispositif « Histoires de bahuts » proposé par la Région Nouvelle-Aquitaine, en partenariat avec la Région académique Nouvelle-Aquitaine, avec l’appui du Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement de la Gironde et du service Histoire et Archives de la ville de Libourne.

Après la visite :

RDV à la librairie Acacia samedi 21 septembre de 12h à 12h30
49 rue Montesquieu Libourne (à 300 m du lycée)
pour une vente-dédicace par Laetitia Maison-Soulard de l’ouvrage qui vient de paraître : Lycées de Nouvelle-Aquitaine : Histoire et Architecture

Pour en savoir plus sur l'histoire et l'architecture du lycée Max Linder : Consulter le dossier d'inventaire

À propos du lieu

Lycée Max Linder
43 allées Robert-Boulin 33505 Libourne
  • Gironde
  • Nouvelle-Aquitaine
Le conseil municipal de la ville de Libourne émet le vœu, le 8 décembre 1949, que soient transformés en lycée, les collèges de Libourne. Le collège de garçons (actuel collège Atget), et celui de jeunes-filles (ancien couvent des Récollets, aujourd'hui médiathèque), ne bénéficiant pas d'une situation permettant de les agrandir, la municipalité opte pour une construction nouvelle.

Jacques Carlu, architecte des Bâtiments Civils et des Palais Nationaux, est désigné par le Ministère de l’Éducation nationale le 27 février 1954 pour diriger l'érection des bâtiments neufs comprenant l'externat et l'internat de garçons, et la transformation de l'ancien collège de garçons en internat féminin.

Carlu fournit l'ensemble des plans définitifs en 1956 après avoir obtenu le 15 novembre 1955 un avis favorable du Conseil Général des Bâtiments de France sur l'avant-projet. Les travaux commencent en 1957, les fondations sont achevées en 1958 et le lycée ouvre ses portes le 22 septembre 1959. L'établissement sera cependant réellement achevé en 1960.

Le lycée prend le nom de « Lycée d'Etat Mixte de Libourne » jusqu'en 1983, date à laquelle on le baptise « Max-Linder ».

À l'origine, afin de s'adapter à l’exigüité du terrain, l'architecte a conçu un long bâtiment d'externat courbe relié à trois barres disposées en escalier au nord de la parcelle.

Par la suite à la fin des années 1990, un rez-de-chaussée a été accolé à la barre centrale (aujourd'hui bâtiment C/D), un nouveau bâtiment est venu fermer les cours à l'est (appelé E) et un vaste préau trapézoïdal doté d'une salle polyvalente a été inséré entre l'externat d'origine et le bâtiment E. Les bâtiments ont au plus cinq étages carrés.
Tags
Première participation, Édifice scolaire et éducatif
©Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel. Adrienne Barroche, 2016