HUGO BARRIOL :

A l’instar de Keziah Jones ou de Ben Harper, tout commence dans le métro et finit dans votre casque audio. Hugo Barriol a arpenté pendant près de deux ans les couloirs du métro parisien pour y roder ses chansons. Il a même été élu « meilleur interprète RATP ».

Repéré sur les quais par la directrice artistique du label Naïve, il vient d'enregistrer à Londres son premier album avec le producteur britannique Ian Grimble (Daughter, Mumford & Sons, Bear’s Den…).

Telle la photographie argentique dont il admire le grain quasi palpable, ces ballades pop/folk, à la fois mélancoliques et exaltantes, nous transportent d’un continent à un autre, dans un univers intemporel.

Après avoir déjà séduit le MaMA et Solidays, il est aujourd’hui sur la scène des Arcades et à l’affiche du festival Tour de Chauffe.

1ère partie : GRAFFITI FISH (Sélection TDC 2019)

Graffiti Fish est un poisson onirique d'origine asiatique qui tâche les murs gris de nos villes. Le groupe fait l’aveu d’un monde ennuyeux voire en crise et au bord de la catastrophe, ce qui, parallèlement tel le Yang, ouvre la perspective d’un changement radical. A la croisée de Bon Iver et de St Vincent, Graffiti Fish n’a peut être pas d’étiquette made in china mais des éthiques simples : la paix, la folk, et le fengshui.