Jérémy Fouquet signe ses toiles de son blaze « Poet 187 », comme on le dit dans le jargon du street art pour désigner le nom d’un tagueur. Il apprit le maniement de la bombe aérosol dans la rue, comme la plupart de ses semblables pratiquants cette technique. A l’époque, c’est sur les murs du terrain de tennis de Coulonges-Cohan, que s’exerce l’artiste. Madame le Maire propose ce spot pour laisser libre court à la créativité de toutes celles et ceux qui le souhaitent.

Attention ! l’artiste nous propose du graffiti numérique pour cette exposition : équipé d’une tablette, d’un stylet et d’une application, il s’emploie à donner naissance à un peuple de petits personnages imaginaires envahissants ses toiles.

Venez à la rencontre de cet artiste qui allie street art, formes géométriques et univers japonais de type Kawaii, lors de son vernissage vendredi 6 mars à 18h30.

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