La Cour des Contes Festival: "One Skin Further"
A poignant tale full of derision, hope and humanity where electronic and acoustic music makes the words vibrate as much as the body.
Vendredi 23 mai, 19h00Passé

DR
Artists: Sabrina Chézeau, Guilhem Verger / Show for ages 12 and up
Victor doesn't have the teeth of victory. He's not the dream son who lives up to his father's expectations. Instead, he has enormous red patches on his skin and likes to slam with words. He watches the world from the high terrace of the school while beneath the polluted and concreted neighborhood, the earth needs him.
How will they both save their skin? How will youth and the earth unite to ensure that life and beauty prevail in the face of everyday violence?
A poignant tale full of derision, hope, and humanity in which electronic and acoustic music (saxophone, accordion), like a language in its own right, makes the words vibrate as much as the body and movement.
This show was written based on a collection of testimonies and interviews. For an entire year, Sabrina Chézeau, the project leader, met with young people in primary schools (cycle 3) and middle schools. She conducted interviews with parenting support professionals:
• Vanessa Roblette, a psychologist and active member of OVEO (Observatory of Ordinary Educational Violence)
• Lena Feldman, a coach and support worker, member of the Creative Parenting Network.
She also collected spontaneous testimonies from parents, children, and adults who recalled their childhood simply by first sharing the theme she was working on. From this material, Sabrina Chézeau constructed a narrative with the invaluable support of Luigi Rignanese, a dramaturgy consultant.
Festival La Cour des Contes : "Une peau plus loin"
Un récit poignant plein de dérision, d’espoir et d’humanité où la musique électronique et acoustique fait vibrer les mots autant que le corps.
Vendredi 23 mai, 19h00Passé

DR
Artistes : Sabrina Chézeau, Guilhem Verger / Spectacle dès 12 ans
Victor n’a pas les crocs de la victoire. Il n’est pas le fils rêvé qui répond aux attentes de son père. Il a plutôt des énormes plaques rouges sur la peau et aime slamer avec les mots. Il regarde le monde depuis la haute terrasse du collège tandis que sous le quartier pollué et bétonné, la terre a besoin de lui.
Comment l’un et l’autre vont-ils se sauver la peau ? Comment la jeunesse et la terre deviennent-ils solidaires pour faire gagner le vivant et la beauté face aux violences ordinaires ?
Un récit poignant plein de dérision, d’espoir et d’humanité dans lequel la musique électronique et acoustique (saxophone, accordéon), comme un langage à part entière, fait vibrer les mots autant que le corps et le mouvement.
L’écriture de ce spectacle s’est faite d’après un ensemble de témoignages et d’entretiens. Durant toute une année, Sabrina Chézeau, porteuse du projet, est allée à la rencontre de jeunes dans les écoles primaires (cycle 3) et collèges. Elle a mené des entretiens aves des professionnels de l’accompagnement à la parentalité :
• Vanessa Roblette, psychologue membre active de l’OVEO (Observatoire des Violences Educatives Ordinaires)
• Lena Feldman, coach et accompagnante, membre du réseau parentalité créative.
Elle a aussi récolté des témoignages spontanés de parents, d’enfants, d’adultes se souvenant de leur enfance en ayant simplement au préalable partagé le thème sur lequel elle travaillait. À partir de cette matière, Sabrina Chézeau a construit un récit avec le soutien précieux de Luigi Rignanese, conseil en dramaturgie.