Ils sont presque foutraques, ces deux interprètes, et ils ont bricolé un drôle de grand écran : il se nourrit de leurs actions du réel autant que d’effets… peu sérieux mais un peu spéciaux !
À leurs côtés on passe du coq à l’âne, sans s’encombrer de cohérence ni de cérémonial, dans le sillage du rire, de la blague visuelle, de la légèreté, et du jeu de dupe… À vélo, autour d’un ballon de foot ou sur une autre planète, il s’agit avant tout de s’amuser pour explorer le rapport que nous entretenons à nos objets technologiques avec autant d’humour que possible.