Vernissage : du paysage au jardin

C’est à l’atelier que tout se passe, là où la mémoire et l’imagination se côtoient, travailler la matière, accepter l’inattendu. Effacer ou retenir la matière comme si l’image se construisait peu à peu sur le support, telle une histoire qui s’invente, une émotion qui revient, la trace qu’on essaie d’y laisser au regard d’un monde qui nous entoure, à travers ses paysages et plus récemment l’intimité des jardins. Un travail dans la matière sans dessin préalable, des endroits plus dilués vont chercher la lumière jusqu’à apercevoir le support en transparence ; alors, une ambiance se crée. Histoire et/ou géographie ?