Les Villes tentaculaires
Des poèmes de Verhaeren, de la musique électronique, un quatuor à cordes : le mélange (d)étonnant d’un spectacle élu "Meilleure création artistique et technique" aux Prix de la critique 2014.
Aménagements à l'accessibilité
Handicap auditiu
Handicap visual
Handicap psiquic
Handicap motor

Nicolas Mispelaere a imaginé un spectacle s’approchant tant d’un concert que d’une représentation théâtrale. Sur un plateau sans cesse métamorphosé par des projections vidéo signées Dirty Monitor, la musique électronique rencontre la puissance d’un quatuor à cordes, le tout formant l’écrin du récitant, juché sur une ville miniature et protéiforme.
Visionnaire, Emile Verhaeren signait en 1895 un recueil de poèmes évoquant l’horreur et la beauté de la ville – cette hydre tentaculaire qui mange la campagne mais nourrit aussi son homme. Fulgurant, émouvant, critique, ce regard sur notre urbanité n’a pas pris une ride.
teaser Les Villes tentaculaires
Mise en scène : Jean-Michel Van den Eeyden. Conception et interprétation Nicolas Mispelaere. Assistante à la mise en scène : Anne-Cécile Massoni. Création musicale : Margaret Hermant et Ludovic Romain. Arrangements : Benoit Leseure et quatuor à cordes. Quatuor : Margaret Hermant et Benoit Leseure (violon), Jean-FrancoisDurdu (alto), Marine Horbaczewski ou Léonor Palazzo (violoncelle). Musique électro : Ludovic Romain. Mapping vidéo : Dirty Monitor. Régie générale : Christian François. Régie vidéo : Arnaud Bogard. Spatialisation sonore et régie son : Christine Verschorren. Production L’ANCRE (Charleroi).
Emile Verhaeren, Dirty Monitor, Mapping vidéo, Poésie, Théâtre, Musique