Cerveau de pauvre
Une auto-fiction qui tente de politiser les points de rupture : avec la précarité économique et sociale, avec les violences sexistes et sexuelles, avec les violences familiales.
Vendredi 6 février 2026, 20h00
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Cerveau de pauvre
Avec un texte à la langue directe, parfois crue, hommage à un parler populaire et arme à opposer à la violence des dominants. Léa Porrachia nous offre une auto-fiction qui tente de politiser les points de rupture : ruptures avec la précarité économique et sociale, avec les violences sexistes et sexuelles, avec les violences familiales. C’est le récit d’un long passage semé d’embûches : de routes de vacances interminables et de murs qui poussent dessus, de propriétaires très en colère qui vous coincent les doigts dans une porte de placard, d’amants pas très intéressants, d’amants carrément violents, de petits boulots de nuit, de familles qui dysfonctionnent et d’ami·e·s pas très renseigné·e·s sur la fellation sans capote.
texte et jeu : Léa Porracchia
mise en scène : Ninon Gascoin Portier