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Samedi 9 novembre 2019, 10h00Passé
Novembre 2019
Samedi 9
10:00 - 18:00

Fourier revient

Un spectacle musical de Phusis, entre chansons visionnaires, lectures et performances !
Samedi 9 novembre 2019, 10h00Passé

Proposé dans le cadre de la table ronde Citéphilo Spiritisme, occultisme et utopies sociales en lien avec l'exposition Lesage, Simon, Crépin. Peintres, spirites et guérisseurs, Fourier revient navigue entre musique, lecture et performance autour de l’actualité qui lui fait écho : la catastrophe climatique, les guerres à venir, les amours libres, la contestation globale…

Déployez les chansons visionnaires, croisez la pop, l’électro et l’improvisation et vous obtiendrez Phusis, ou comment se frotter à l’utopie contemporaine !


Claviers et compositions : Julien Tortora. Chant : Sarah Butruille. Saxophone et Sylphyo : Sakina Abdou. Guitare : Ludovic Potier. Contrebasse : Léa Yeche. Batterie et Pad : Marc Devillers.

Spectacle soutenu par la Générale d'Imaginaire et le collectif Zone Libre et proposé en partenariat avec Citéphilo Lille Hauts-de-France

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Spectacle
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À propos du lieu

LaM
1 allée du Musée, VIlleneuve-d'Ascq
  • Nord
  • Hauts-de-France
En acceptant la donation Masurel en 1979, Arthur Notebart, qui était alors Président de la Communauté urbaine de Lille, engageait la collectivité territoriale dans une aventure qui n’était pas jusque-là dans ses attributions. Une association loi 1901 fut donc créée pour la gestion du musée d’art moderne et ses statuts permirent de structurer et d’organiser le fonctionnement du Musée.

Pierre Chaigneau fut alors recruté comme conservateur pour mettre en place un programme fidèle à l’acte de donation qui précisait les volontés de Geneviève et Jean Masurel. Ce programme devait trouver sa place dans le bâtiment que l’architecte Roland Simounet était chargé de construire dans la ville nouvelle de Villeneuve-d’Ascq.

Les dialogues féconds entre donateurs, architecte et conservateur permirent l’ouverture, en 1983, d’un musée associant parfaitement les fonctions de conservation et de diffusion grâce à des salles d’exposition permanente et temporaire, un parc de sculptures, un auditorium, une bibliothèque, un service éducatif et culturel. Joëlle Pijaudier-Cabot succéda à Pierre Chaigneau en 1987 et exerça ses fonctions jusqu’en 2007.
Pendant cette période, une politique active d’acquisitions et une programmation de grandes expositions d’art moderne et contemporain hissèrent le Musée à une reconnaissance internationale.

Un nouvel épisode de la vie du MAM commença quand la collection d’art brut de L’Aracine fut donnée au Musée en 1999, engageant la Communauté urbaine de Lille à agrandir le Musée afin de présenter de façon permanente l’art brut aux visiteurs. Le Musée devenait celui de l’art moderne, de l’art contemporain et de l’art brut.

En 2008, fut choisi un nouveau nom, le LaM (Lille Métropole, musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut), annonçant la réouverture du Musée dans sa nouvelle configuration.
Accès
– par la route : à 20 min. de la gare Lille Flandres, autoroute Paris-Gand (A1/A22/N227), sortie 5 ou 6 Flers / Château / Musée d’art moderne. -Parking : -Les emplacements de parking réservé PMR se situe juste avant le rond point de l’allée du Musée, face au pavillon d’entrée du musée. -2 parkings publics (non surveillés) sont disponibles : parking P7 (dit Des Moulins – hauteur maxi : 1,80m). Le Parking P8 (hauteur maxi : 1,80m), juste à coté du musée, mais plus petit.
M.Lerouge / LMCU