Ils ont été tournés en français car ils étaient destinés à un public de français de Londres dans un objectif de soutien à la résistance.

Le premier, Bon voyage, nous présente d’abord une intrigue narrée selon un point de vue unique, celui du sergent John Dougall. A la suite de son évasion hors de France, il a rejoint l’Angleterre avec l’aide de Stefan Godowski et raconte les péripéties de sa fuite au colonel des Forces Françaises Libres. Mais le récit prend une nouvelle tournure lorsque ce dernier révèle au sergent la véritable nature de son compagnon de voyage...

Le second court métrage, Aventure malgache, avec son intrigue compliquée, est une histoire assez déroutante qui se présente à l’aide d’une série de flashbacks.

Le réalisateur développe donc ses thèmes de prédilection : le double, la traîtrise, le suspense, la manipulation, les faux-semblants, l’importance du point de vue... Cela a d’ailleurs posé des problèmes à la diffusion des films, qui auraient dû être détruits car la commande des producteurs n’avait pas été respectée, ce n’était pas de la simple propagande …