Samedi 13 avril à 18h au café-herboristerie Les herbes folles à La Rochelle, rue des Trois-fuseaux

Le samedi 13 avril à 18h pour une lecture à voix croisées de textes parus aux éditions Lunatique par Julien Transy et Angélique Condominas mis en musique par Frank Schluk, avec la présence exceptionnelle des éditions Lunatique.

Julien Transy

Julien Transy est né à Lyon. C’est à Paris qu’il cultive son goût pour diverses formes individuelles ou collectives d’écriture et de création, qu’elles soient littéraires, musicales ou cinématographiques. Il vit et travaille aujourd’hui en Charente-Maritime. Grand Prix Poésie RATP 2017 (catégorie adultes) ; premier prix du concours de nouvelles « Biennale de Lyon – Télérama : « La vie moderne » 2015 ; lauréat du Prix Panaït Istrati 2013.

Des Astres

Dans Des Astres se mêlent jusqu’à se confondre douleur et douceur, sans heurts ni leurre. Ainsi, c’est par petites touches délicates que Julien Transy pose ses mots épars sur la page, et esquisse les portraits tout en vulnérabilité de deux femmes aux prénoms célestes, Luna et Stella, en prise avec « la vie d’après ». Car, drame familial ou rupture amoureuse, les histoires ne sont que rarement banales et peuvent laisser à tout jamais bancal.

Angélique Condominas

Angélique Condominas écrit et chante au sein du binôme artistique Frangélik. Elle partage sa passion des mots en proposant des ateliers d’écriture et a lancé en mars 2015 avec un collectif d’artistes les éditions Mots nomades qui publient des poèmes au format Poids Plume. Sa première contribution au catalogue Lunatique a été L’Embarquée, suivie de La Rochelle Paris, puis du recueil collectif Je regarde dans la fenêtre écrire un poème.

Maivana poèmes

Création littéraire épistolaire France - Madagascar
Partenariat : École élémentaire de Loulay, duo d’auteurs Frangélik, Alliances Françaises de Sambava, Mahajanga, Antsirabe et Fort-Dauphin, et éditions Lunatique
Les poèmes c’est des petits sons qui nous émerveillent ou nous chatouillent entre les paupières et nous créent une belle imagination.
Pablo C.