Les constats de la vacance des centres villes historiques et du développement des périphéries posent une question quant à la place de la connaissance généalogique des évolutions de la ville historique. Comment s'interroger pour reconquérir du lien social dans les villes historiques et les inscrire dans des économies circulaires durables ? Leurs architectures, et leurs connaissances, permettent elles de mobiliser de nouveaux jeux d'acteurs dans des services systémiques culturels, économiques, écologiques, sociaux ?