Regina caeli - Monteverdi, Scarlatti, Lully On sait l’importance qu’eut la musique italienne du Seicento : l'essor du chant soliste et d’une certaine virtuosité vocale se fit surtout par l’opéra mais nourrit au passage le répertoire sacré.
Conditions Catégorie 1 – Participation aux frais : 40,00 €
Catégorie 2 – Participation aux frais : 25,00 €
Catégorie 2 – Participation aux frais – Réduit* : 15,00 €
*Enfants et jeunes – 26 ans, Demandeurs d’emploi, Bénéficiaires des minima sociaux
Léonard de Serres
On sait l’importance qu’eut la musique italienne du Seicento (XVIIe siècle) en Europe. Le développement du chant soliste et d’une certaine virtuosité vocale se fit essentiellement par le biais de l’opéra mais nourrit au passage le répertoire sacré. Les églises résonnaient elles aussi de mélodies somptueuses, les partitions mêlant stile antico et stile moderno. La polyphonie, quant à elle, cherchait de nouveaux sentiers et toutes les générations suivantes sauraient s’inspirer de cet âge d’or, en Italie évidemment mais également en France avec Campra, Lully et Charpentier. Si toute l’Europe adoptait progressivement ces innovations, chaque pays affichait cependant une spécificité immédiatement perceptible et suivait ses goûts poétiques propres.
Distribution Solistes de la Maîtrise Notre-Dame de Paris Yves Castagnet, orgue
Programme Jean-François Lallouette (1651-1728) Regina caeli
André Campra (1660-1744) Salve Regina Tota pulchra es
Hans Leo Hassler (1564-1612) Alleluja, laudem dicite
Claudio Monteverdi (1567-1643) Pulchra es Salve Regina
Alessandro Grandi (1586-1630) O quam tu pulchra es
Domenico Scarlatti (1685-1757) Salve Regina
Marc-Antoine Charpentier (1643-1704) O sacrum convivium Gaudia Virginis
Jean-Baptiste Lully (1632-1687) Salve Regina Regina caeli