Le défi One Health pour contrôler les maladies vectorielles
« One Health : un défi pour le contrôle des maladies transmises par les vecteurs »
Cette conférence sera en anglais.
Dans un contexte de réchauffement climatique, les maladies transmises par les vecteurs se propagent à l’échelle mondiale. Lors de cette conférence, le développement de nouvelles stratégies de contrôle de deux maladies transmises par les vecteurs, à savoir le paludisme et la leishmaniose, sera présenté, en s’appuyant sur les connaissances fondamentales de leur biologie et en lien avec le concept One Health.
Mercredi 27 novembre 2024
9h15 – 12h15
Pour les étudiants des universités partenaires, cet événement sera accessible en tant que conférence en ligne (le lien de connexion sera envoyé ultérieurement).
Présentiel uniquement pour les étudiants de l'Université Paris-Saclay (Salle 2000, HM1)
Université Paris-Saclay - Bâtiment Henri Moissan - 17, avenue des Sciences, 91400 Orsay, FRANCE
Pour les étudiants locaux (uniquement les étudiants de l’Université Paris-Saclay) souhaitant participer en présentiel, merci de confirmer votre présence en envoyant un e-mail à l'organisateur : sebastien.pomel@universite-paris-saclay.fr
Programme de l'événement
9h15 - 9h30 : Mots de bienvenue
9h30 - 10h15 : Dr Markus MEIßNER
(Professeur titulaire, Directeur de laboratoire, Chaire de Parasitologie expérimentale, Faculté de médecine vétérinaire, Ludwig-Maximilians-Universität MÜNCHEN - ALLEMAGNE)
« Le remodeler de la chromatine Snf2L est nécessaire à l’expression des gènes du Plasmodium au moment voulu »
10h15 - 10h45 : Pause café - Discussions
10h45 - 11h30 : Dr Joana SANTOS
(Chargée de recherche CNRS, Responsable de l’équipe MalReg, UMR CNRS 9198, I2BC, Université Paris-Saclay)
« Le séquençage de l'ARN à une cellule révèle que le parasite du paludisme se prépare à vivre dans l’hôte en activant une cascade transcriptionnelle »
11h30 - 12h15 : Dr Sébastien POMEL
(Maître de conférences, Équipe Parachem, UMR CNRS 8076, BioCIS, Université Paris-Saclay)
« Thérapie dirigée contre les cellules hôtes : une nouvelle stratégie pour le traitement des leishmanioses »