Mille francs de récompenses
L’innocente Cyprienne et sa mère Etiennette sont sans le sou. L’homme d’affaires Rousseline menace de saisir leurs biens pour rembourser une dette injustifiée. Mais résolument attiré par Cyprienne, il propose un échange : la dette contre la fille, elle-même déjà follement amoureuse du jeune Edgar Marc, modeste employé de banque. Les deux femmes l’ignorent mais Glapieu, vagabond redresseur de torts entre « Gavroche » et « Jean Valjean », découvre la supercherie. N’ayant plus rien à perdre, il décide d’aider les deux femmes quitte à en perdre sa propre liberté pour que justice soit faite.
Ce mélodrame comique est d’une singulière actualité. Parce qu’il est nécessaire de dénoncer le pouvoir de l’argent et la corruption, comme il est essentiel de réhabiliter la notion de bonté et de rappeler les vraies valeurs de la République.
Parce que cette pièce est une ode à la justice et à la charité, parce que nous avons besoin d’histoires qui finissent bien…