Jeu de mains, jeu de vilains. La Main chaude, histoire d'un jeu populaire à travers les siècles.
A partir des oeuvres de Ferdinand Roybet (1840-1920), le musée présente une histoire du jeu de la main chaude.
Samedi 21 mai 2016, 10h30Passé
Aménagements à l'accessibilité
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Handicap visuel
Handicap psychique
Handicap moteur

Très populaire depuis l’Antiquité, le jeu de la main chaude appartient à une série de divertissements basés sur la reconnaissance sensorielle. Également intitulé "jeu du soufflet", "jeu de la paumelle", "qui fery ?" ou "frappe-main", parfois associé au jeu de colin-maillard ou au pied-de-bœuf, il se différencie par la multiplicité des participants et la diversité des intervenants. Trois personnes au minimum se rassemblent pour démarrer le jeu : la première assise, la seconde courbée les mains dans le dos, la troisième en position de frapper. Qui a frappé ?
Plusieurs fois représenté par le peintre Ferdinand Roybet (1840-1920), le thème de la main chaude connaît au XIXème siècle un regain d’intérêt de la part des artistes peintres, sculpteurs, graveurs ou illustrateurs. À partir de l’analyse des œuvres de Ferdinand Roybet et de prêts exceptionnels, l’exposition présentera une histoire de ce jeu et de ses représentations à travers les siècles.
© Courbevoie, Musée Roybet Fould - Yann Rossignol