Pourquoi faudrait-il sauver l’universel ?

L’universalisme, au service des causes les plus douteuses, a pu apparaître comme un instrument au service de la domination de l’Occident. Il ne s’y réduit cependant pas : nous distinguerons la prétention à incarner l’universel de l’idée qu’il existe une universalité à laquelle il nous est impossible de renoncer. Pour étayer cette hypothèse, nous nous tournerons vers l’anthropologie et défendrons la thèse selon laquelle l’universel est une catégorie épistémique, requise par la nature de l’humain.
Intervenant : Alain Policar, politiste, Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof)
Places limitées et réservation obligatoire par mail à biblio.meg@geneve.ch, en précisant votre nom, prénom, numéro de téléphone et le nombre de personnes qui vous accompagnent.