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Dimanche 17 septembre 2023, 15h00Passé
Conditions
Gratuit. Entrée libre. Point de rendez-vous : lycée agricole Étienne Restat.
Septembre 2023
Dimanche 17
15:00 - 17:00

Ancienne poudrerie nationale

47110 Sainte-Livrade-Sur-Lot
  • Lot-et-Garonne
  • Nouvelle-Aquitaine

Visite guidée d'un ancien site industriel, chargé d'histoire

Au milieu des années 1930, l’État envisage d’accroître la production de la poudrerie nationale de Bergerac en Dordogne et de créer une annexe. Il est prévu d’y implanter un véritable complexe m...
Dimanche 17 septembre 2023, 15h00Passé
Conditions
Gratuit. Entrée libre. Point de rendez-vous : lycée agricole Étienne Restat.
©Pays d'art et d'histoire du Grand Villeneuvois

Au milieu des années 1930, l’État envisage d’accroître la production de la poudrerie nationale de Bergerac en Dordogne et de créer une annexe. Il est prévu d’y implanter un véritable complexe militaro-industriel, composé de la poudrerie proprement dite et de bâtiments annexes pour le logement du personnel.
Pour la seule poudrerie, 421 hectares sont réquisitionnés, soit un cinquième du territoire communal livradais, essentiellement des terres agricoles de cette riche plaine alluvionnaire.
À l'occasion des Journées européennes du patrimoine, participez à des visites de cet ancien site industriel jamais achevé, guidés par l'association « Mémoire de la poudrerie ».

Types d'événement
Visite commentée / Conférence
Thèmes 2023
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Conditions de participation
Gratuit
Type de public
Tout public

À propos du lieu

Ancienne poudrerie nationale
47110 Sainte-Livrade-Sur-Lot
  • Lot-et-Garonne
  • Nouvelle-Aquitaine
En 1939 le gouvernement a choisi cette plaine très riche en eau pour y construire une grande poudrerie nationale, annexe de celle de Bergerac. Une voie ferrée est construite pour les relier.

La main-d'œuvre locale étant insuffisante, 3 500 réfugiés républicains espagnols sont expédiés sur place. Ils commencent par construire en périphérie 4 camps pour leur hébergement. Ils sont encore utilisés aujourd’hui !

25 km de voies ferrées sont mis en chantier et débute la construction des 600 édifices prévus. Petits ou énormes, ils sont dispersés sur les 420 hectares par mesure de sécurité. Des milliers de tonnes de béton et de fer vont être amenés ainsi que de très gros engins.

En mai 1940, la débâcle des armées françaises marque l'arrêt des travaux.
Tags
Villes et Pays d'art et d'histoire, Édifice militaire, enceinte urbaine, Édifice industriel, scientifique et technique
©ladepeche