Vers la renaissance d'un château oublié entre Forez et Lyonnais
Seul édifice sélectionné dans le Département de la Loire par la Mission Stéphane Bern pour la 2ème édition du Loto du Patrimoine 2019 et avec le soutien de la Fondation du Patrimoine, l’association de sauvegarde du château de Jarnosse souhaite vous retrouver lors des Journées Européennes du Patrimoine pour cette cinquième ouverture exceptionnelle et vous proposer le programme suivant :
Exposition
Anne-Marie ROCHE - Peintures
Originaire de Mardore peint depuis ses années collège. Elle a été l’élève de Georges Roget pendant des années. Attirée par l’aquarelle et l’encre (de Chine, sépia) elle s’est forgée une technique personnelle qui allie les deux procédés.
Après avoir présenté, il y a des années, des scènes paysannes anciennes, des portraits inspirés de la Chapelle Sixtine, elle s’est tournée, suite à de nombreux séjours sur la côte Ouest, ou méditerranéenne espagnole, vers les marines, les épaves, les plages, les crustacés…
Récemment ce sont les bois qui l’ont inspirée, la nature et ses saisons.
Elle cherche, à évoquer aussi bien les beautés de la nature que ses ombres, évitant de plus en plus, tout réalisme extrême et laissant les couleurs et les formes parler seules, délivrer une résonance en dialogue avec le spectateur. Comme une porte ouverte sur l’Art.
Claire VALORGE - Peintures
Depuis l'enfance j'ai été attirée par l'art et j'ai commencé à peindre il y a une vingtaine d'années quand mes activités familiales et professionnelles m'ont laissé du temps. Du temps qui m'a permis de voyager. Au retour j'ai eu envie de rendre en peinture les impressions recueillies au fil de ces séjours. Des découvertes qui complètent les inépuisables idées glanées çà et là, de la montagne à la mer. J'aime toutes les expressions picturales. C'est le sujet qui m'oriente vers telle ou telle technique : aquarelle, pastel, huile, acrylique, encre...
C’est original pour un professeur d’histoire-géographie, d’exposer dans un château dont mon mari, Robert Valorge, originaire de Jarnosse a écrit l’histoire.
Martine ALIBERT - Photographies
Photographe, vit et travaille à Cours-la-Ville (69)
La photographie. Un besoin d’inscrire ces images qui sont en station dans le puzzle de la mémoire, qu’elles soient portraits ou paysages. Mémoire de papier.
Les voyages, l’ailleurs, l’invitent à cette démarche où se jouent en surimpressions une confrontation des lieux à sa propre histoire, une inscription de la marque du temps.
* expositions
Opus 50, La Filature à Varennes-sous-Dun, et La Vitrine à Marcigny, juin-juillet 2023
Bocage, Les Paysageurs, Bibliothèque de Fleury-la-Montagne (71) oct-déc 2022
après la pluie, avec Philippe Accary et Luc Penet, chez Teckné, Lyon 8ème, mai 2022
persistance de l’horizon, collectif « les paysageurs », galerie Jean-Louis Mandon, juin 2020
paysages revisités, avec Philippe Accary, Hangar 717, Gleizé-Villefranche sur Saône, juin- juillet 2019
corps figuré, avec Philippe Accary, La Remise, Pollionnay (69), sept 2015
[in]certain, avec Philippe Accary Galerie Domus, Université Lyon1, juin 2012
Cibir 3, le nord, installation avec MN Brun et M Chamagne, CCAM Scène Nationale Vandoeuvre-lès-Nancy et Galerie Lillebonne Nancy, mai 2011
Cibir 2, hivernale Sibérie, installation avec MN Brun et M Chamagne, Galerie Lillebonne Nancy mai 2007 ; Abbaye des Prémontrés, Pont à Mousson décembre 2007
Cibir, installation avec MN Brun et M Chamagne, Scène Nationale L’Athanor, Albi, Festival Musique Quotidien Sonore, mai 2005 ; Ancienne Bibliothèque Chaumont, décembre 2003 ; Galerie Lillebonne Nancy, novembre 2002
Le fleuve, révélateur d’images, Ilône du Miroir, Lyon, juin 2004
Musiques, Festival de Mehre, juillet 2000, août 2001
Jardins secrets, Art dans la Ville, Saint Etienne, juin 1999.
* documentaires musicaux en co-réalisations avec Marie-Noëlle Brun,
« Musique Action 96 » 1997, « Marseille partition » 1995, « Hi Risk » 1994.
Philippe ACCARY - Photographies
Photographe, vit et travaille à Cours-la-Ville (69).
Découvre la photographie pendant son adolescence et décide de poursuivre les deux simultanément.
Cela s’est traduit par vingt ans de travail et d'expériences comme tireur Noir et Blanc professionnel dans différents laboratoires photographiques lyonnais. Il participe à la vie de galeries et d'associations photographiques. Participe à l'Atelier de Photographie Magenta -Lyon-, anime des ateliers de création photographique, crée Zone Actinique, valide le diplôme des beaux-arts.
Un cheminement de l’arpenteur, de jour comme de nuit, de la ville à la campagne, sans répit.
expositions récentes
Opus 50, La Filature à Varennes-sous-Dun (71), et La Vitrine à Marcigny (71), juin-juillet 2023
Bocage, Les Paysageurs, Bibliothèque de Fleury-la-Montagne (71) oct-déc 2022
après la pluie, avec Martine Alibert et Luc Penet, chez Teckné, Lyon 8ème, mai 2022
persistance de l’horizon, collectif « les paysageurs », galerie Jean-Louis Mandon, juin 2020
paysages revisités, avec Martine Alibert, Hangar 717, Gleizé-Villefranche-sur- Saône, juin- juillet 2019
des villes et des champs avec Marc Chopy, La Fabrique des Colombes, Ste Colombe-sur-Gand (42), sept-oct 2018
macadam(e), avec Ian Lid, Bibliothèque municipale Lyon 1er , mars 2017
corps figuré, avec Martine Alibert, La Remise, Pollionnay(69), sept 2015
à l’atelier Victor, avec Martine Alibert, Lyon, décembre 2014
[in]certain, avec Martine Alibert, Galerie Domus, Université Lyon 1, juin 2012
Co-gite en cages, Le Bal-des-Ardents, Lyon, 2011
Musique Action 25ème, résidence artistique et exposition, Scène Nationale de Vandoeuvre-lès-Nancy (54), mai 2010
Hommage à Walter Benjamin, Photaix, Aix-en-Provence, 2010
No Made Land, Galerie Les Frères de la Côte, La Ricamarie (42), 2008
oTo DUCHAToT et ses fantômes - Photographies
Nous sommes heureux de vous présenter des tirages du l’Oto. Certes, ils ne sont pas tous gagnants. Il en faut des clics et des clacs pour les immortaliser, Oto se prend souvent des claques, il faut dire que c’est facétieux un fantôme. Mais quand tu t’appelles Oto le face essieu ne te fais pas peur ! Duchatot n’est pas son véritable nom, c’est un surnom lié au fait qu’il parle tout le temps de ses invisibles, il tchat tôt. Il est heureux de les faire sortir de l’oubli alors il les évoque, il parle de leurs regards. La grande difficulté s’avère de croiser le regard du fantôme et de l’immortaliser, c’est très fuyant un fantôme. Quand il n’y arrive pas il attend, il attend…il revient sur les lieux ce qui fait de lui un revenant aussi. Si vous pouvez découvrir ces rares clichés, c’est qu’entre revenants, ils se sont compris .