Inspirés par l'entrée du répertoire clownesque “Les colleurs d'affiches“ (in. Entrées clownesques, Tristan Rémy, Ed. L'arche), les comédiens développent un jeu visuel et sans parole, un comique de situation mêlant quiproquo, conflits, et accidents.

Les prouesses de l’affichage alternent avec des moments plus intimistes laissant voir l’humanité des deux personnages.

Les images se succèdent, abstraites, fortes ou absurdes et dessinent un paysage photographique hétéroclite.

Le spectacle prend une couleur surréaliste quand l‘image des deux afficheurs surgit dans certaines photographies.

Hallucination, mystère ou manipulation, peu importe, ils en jouent !

Au final, une photographie panoramique vient recouvrir et faire le lien entre toutes les autres dévoilant une scène onirique, et renversant complètement la vision du spectateur.

Magique !