Visite thématique du mémorial du Mont-Valérien Exposition « Graffitis, ultimes témoignages des fusillés du Mont-Valérien »

Name: Visite thématique du mémorial du Mont-Valérien Exposition « Graffitis, ultimes témoignages des fusillés du Mont-Valérien »
Start: 2022-09-18T11:00:00+02:00
End: 2022-09-18T12:30:00+02:00
Location: Mémorial du Mont-Valérien

Dans le cadre des Journées européennes du Patrimoine, venez découvrir la première exposition temporaire du Mont-Valérien réinstallée, « Graffitis, ultimes témoignages des fusillés du Mont-Valérien »

Dimanche 18 septembre 2022, 11h00Passé

Conditions

Entrée gratuite sur inscription

Outils d'inscription

info@mont-valerien.fr 0147284635

onacvg

Au Mont-Valérien, à Suresnes (92), 1 008 hommes ont été fusillés entre 1941 et 1944.
Ils étaient résistants et otages, Juifs, communistes, étrangers et Français. Certains ont pu inscrire des messages sur les murs d'une chapelle désaffectée, où ils attendaient que des soldats allemands viennent les chercher pour les conduire devant le peloton d'exécution.
Parfois revendicatifs, ces messages sont autant de traces de vie qui nous permettent de saisir la diversité des engagements et des origines des fusillés du Mont-Valérien.

Exposition en partenariat avec le Musée de la Résistance Nationale
et le mémorial de la Shoah

Dimanche 18 septembre à 11h00
Durée | 1h30
Gratuit sur inscription
Informations et réservations : info@mont-valerien.fr | 01 47 28 46 35
1 avenue du professeur Léon Bernard, 92150 Suresnes

À propos du lieu

Mémorial du Mont-Valérien

Avenue du Professeur Léon-Bernard 92150 Suresnes

Hauts-de-Seine
Île-de-France

Lieu de culte médiéval devenu forteresse militaire au cours de XIXème siècle, le Mont-Valérien a été le principal lieu d’exécution de résistants et d’otages en France par l’armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.

La multiplicité des parcours des 1008 fusillés, nous permet aujourd’hui d’en décrire la diversité. Après la guerre, le site est choisi pour honorer la mémoire des morts pour la France de 1939 à 1945, et, le 18 juin 1960, le général de Gaulle y inaugure le Mémorial de la France combattante.

Ces hommes, assassinés parce qu’ils étaient résistants, otages, Juifs ou communistes sont autant de rappels à notre histoire qui firent naturellement de ce site le premier des Hauts lieux de la mémoire nationale du ministère des Armées, aujourd'hui géré par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.