L'intérieur de l'église est particulièrement riche en éléments décoratifs, pour la plupart classés au titre des monuments historiques.
Le retable du XVIIe siècle : une Assomption, dans l'esprit des grandes compositions des peintres parisiens Simon Vouet ou de Jacques Blanchard, caractéristique de la peinture française de l'époque de Louis XIII.
La Trinité du XVIe siècle : Dieu le père est ici représenté sous les traits d'un vieillard coiffé d'une tiare, il est surmonté de l'Esprit Saint et soutient entre ses mains le Christ en croix. Image devenue très rare de nos jours, il subsiste en effet peu d'exemplaires de cette vision symbolique qui fût très fréquente au Moyen Âge.
La poutre de Gloire : le Christ en croix, la Vierge Marie et l'Apôtre saint Jean, datée de 1580.
La statuaire du XVIIe siècle, classée : saint Evrou, saint Pierre, sainte Barbe, la Vierge et l'enfant
Le cénotaphe : porte l'empreinte de l'illustre famille d'Aligre qui posséda entre autres la Seigneurie du Favril.
Les vitraux : Remarquables par la qualité de leurs dessins et leurs couleurs les vitraux forment un bel ensemble réalisé en 1876 par les Ateliers du Carmel du Mans.
Les vitraux présentent dans la nef "les douze scènes de la vie du Christ", dans le chœur, "les 21 scènes de la vie de saint Pierre", constituant un véritable catéchisme en images.

Monument historique, Édifice religieux

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