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7 avril - 17 septembre 2017Passé
Septembre 2017
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Carré d'art, Nîmes

Place de la Maison Carrée, 30000 Nîmes
  • Gard
  • Occitanie

A different way to move. Minimalismes. New York 1960-1980

Les arts visuels, la danse et la musique se réinventent dans une proximité féconde au cours des années 1960 et 1970 à travers les chefs-d’œuvre de l’art minimal.
7 avril - 17 septembre 2017Passé

Vernissage public le jeudi 6 avril 2017 à partir de 18h30.

L’art minimal évoque un avènement des matériaux industriels bruts, des structures élémentaires et des agencements sériels. Dès l’apparition de ce terme, forgé par la critique newyorkaise au milieu des années 1960, la plupart des artistes l’ont rejeté, et avec lui l’idée d’une parenté basée sur l’apparence visuelle de leurs œuvres. Une remarque célèbre de Sol LeWitt rappelle que le minimalisme « signifie des choses différentes pour des gens différents ».

L’exposition invite à relire l’histoire de cette réélaboration profonde des pratiques artistiques, à la recherche de nouvelles formes de construction. Élaborée à partir des collections du Centre Pompidou, enrichies d’autres prêts ainsi que de performances, elle élargit le point de vue sur les chefs d’œuvres de l’art minimal pour s’intéresser aux foyers communs où les arts visuels, la danse et la musique se réinventent dans une proximité féconde au cours des années 1960 et 1970. Artistes, chorégraphes et compositeurs se croisent tout d’abord dans l’atelier d’improvisation d’Anna Halprin, à la fin des années 1950 à San Francisco, puis dans les lofts newyorkais dès 1960 et, enfin, dans l’intense expérimentation performative qui se cristallise à la Judson Memorial Church à partir de 1962. « Il était nécessaire de trouver une manière différente de se mouvoir », écrit la chorégraphe et cinéaste Yvonne Rainer.

Les œuvres radicales qui sont issues de ces recherches engagent dans l’espace et le temps un nouveau rapport au spectateur. L’exposition propose une relecture des formes du minimalisme dans une perspective élargie. Elle suggère la manière dont les arts du temps — la danse et la musique mais aussi le texte, le film et la vidéo qui forment dès le milieu des années 1960 le cœur des pratiques conceptuelles et dites « post-minimales » — ont porté un changement majeur dans la pensée formelle de l’objet. Le développement d’une conscience corporelle place la polarité conflictuelle entre concept et perception au premier plan de la recherche artistique.

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À propos du lieu

Carré d'art, Nîmes
Place de la Maison Carrée, 30000 Nîmes
  • Gard
  • Occitanie
© D. Huguenin

Inauguré en 1993, l’ouverture de Carré d’art-musée d’art contemporain est un témoin réussi de l’ouverture à l’art contemporain et de la politique de déconcentration entreprise en France à partir des années 80. Situé entre le CAPC de Bordeaux, les Abattoirs de Toulouse à l’Ouest, le MAC de Marseille et le MAMAC de Nice à l’Est, le musée d’art contemporain de Nîmes est un maillon d’une chaîne qui s’est complétée au fil des années en vue de promouvoir et diffuser l’art contemporain dans l’axe méditerranéen.

A l’instar de son modèle parisien, le Centre Pompidou, Carré d’art accueille la médiathèque et le musée d’art contemporain et propose aux Nîmois comme aux visiteurs étrangers un nouveau lieu de vie.