JE N'AI RIEN FAIT DE MAL / MIKA SPERLING
Armed with her vulnerability and driven by her resilience, Mika Sperling questions the family and societal taboo in her exhibition Je n'ai rien fait de mal and evokes the crimes of her grandfather.
19 - 22 noviembre 2024Pasado

Mika Sperling
How to break a family and societal taboo? This is the question posed by Mika Sperling (RU/DE) in Je n'ai rien fait de mal. Armed with her vulnerability, driven by her resilience, cultivating awareness of the facts to reject their violence, the photographer evokes her grandfather's crimes in three complementary sets.
First, images taken in collaboration with her daughter, on the path between her childhood home and the culprit's home. Then, meticulously cut-out family photos. Finally, a text, a fictional scenario between a deceased grandfather and an artist in search of answers. Through this formal research, the photographer tries to reconcile with her past.
This exhibition is part of the series of events "Create Again: Rebuild Yourself Through the Creative Process Following Sexist and Sexual Violence", organized by the Viol-Secours association.
The opening of the exhibition will take place on Tuesday, November 19 at 6 p.m. at Maison Saint-Gervais. Free without reservation.
An initiative of the Association Viol-Secours and in collaboration with the Maison Saint-Gervais.
JE N'AI RIEN FAIT DE MAL / MIKA SPERLING
Armée de sa vulnérabilité et portée par sa résilience, Mika Sperling questionne le tabou familial et sociétal dans son exposition Je n'ai rien fait de mal et y évoque les crimes de son grand-père.
19 - 22 noviembre 2024Pasado

Mika Sperling
Comment briser un tabou familial et sociétal ? C’est la question que pose Mika Sperling (RU/DE) dans Je n’ai rien fait de mal. Armée de sa vulnérabilité, portée par sa résilience, cultivant la conscience des faits pour en rejeter la violence, la photographe y évoque les crimes de son grand-père, dans trois ensembles complémentaires.
D’abord, des images réalisées en collaboration avec sa fille, sur le chemin entre la maison de l’enfance et l’habitation du coupable. Ensuite, des photos de famille méticuleusement découpées. Enfin, un texte, scénario fictif entre un grand-père décédé et une artiste en quête de réponses. À travers cette recherche formelle, la photographe tente de se réconcilier avec son passé.
Cette exposition s’inscrit dans le cadre du cycle d’événements « Créer encore : se reconstruire par le processus créatif suite à des violences sexistes et sexuelles », organisé par l’association Viol-Secours.
Le vernissage de l’expo aura lieu le mardi 19 novembre à 18h à la Maison Saint-Gervais. Gratuit sans réservation.
Une initative de l’Association Viol-Secours et en collaboration avec la Maison Saint-Gervais.