Frédérick Gravel I Tout se pète la gueule, chérie
Frédérick Gravel revisits Tout se pète la gueule, chérie, a piece first created in 2010. Fifteen years later, this updated version hits the stage with raw energy and a sharp take on manhood.

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Frédérick Gravel revisits Tout se pète la gueule, chérie, a piece first created in 2010. Fifteen years later, this updated version hits the stage with raw energy and a sharp take on manhood. If you feared it would be more of the same, you clearly don’t know this anti-hero – born from the rock scene and a key figure in Quebec’s new wave of choreographers. On the stage of Maison Saint-Gervais, Gravel unfolds a danced concert, irreverent and biting, that tears apart traditional representations of masculinity. Four men in cowboy boots and tight T-shirts gather around two packs of beer and deliver a series of raw, often absurd, numbers. Through their assumed foolishness, clumsiness or strange violence, they expose and dismantle the flaws of a crumbling patriarchy. It’s wry. It’s messy. It’s smart. And it’s definitely not afraid to throw a punch.
Frédérick Gravel ⎥Tout se pète la gueule, chérie
Frédérick Gravel revisite son spectacle créé en 2010. Quinze ans plus tard, cette nouvelle version, revient sur scène avec une énergie brute et une lecture mordante des codes masculins.

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Frédérick Gravel revisite et actualise Tout se pète la gueule, chérie, un spectacle initialement créé en 2010. Quinze ans plus tard, cette nouvelle version, entièrement remaniée, revient sur scène avec une énergie brute et une lecture mordante des codes masculins. Si l’on pouvait craindre une redite, c’est mal connaître cet antihéros de la danse, figure singulière issue de la scène rock et personnage emblématique de la nouvelle vague québécoise. Sur le plateau de la Maison Saint-Gervais, Gravel déploie un concert dansé, irrévérencieux et grinçant, qui met en pièces les représentations classiques de la virilité. Quatre hommes en santiags et t-shirts moulants, rassemblés autour de deux packs de bières, enchaînent les numéros dans une ambiance de camaraderie brute. Par leur bêtise assumée, leur maladresse ou leur violence absurde, ils exposent et déconstruisent les travers d’un patriarcat vacillant. Ça pique, ça grince, et ça se dégonfle avec une ironie lucide et intelligente.