Y’a un os !
Une femme perd son mari, il était encore de la force de l’âge, un bois bien vert !
Elle lui coupe le pénis et le met dans une calebasse poussinière. Puis elle nourrit son pénis…
On dit : « A force de ronger toujours le même os, il finit par nous rester en travers de la gorge ».
Mon œil oui, tu te bouffes jusqu’à la dernière esquille !
Soirée tourisme du transit, depuis le fumet de la côtelette jusqu’aux douces effluves de nos corps.
Des contes où l’on finit par rire de nos obsessions, obstinations et entêtements.
Mais ne pas se méprendre, c’est une racontée très poétique !
Pour adultes