A memorable evening with Martha Argerich, Jonathan Nott and the Orchestre de la Suisse Romande Martha Argerich will perform the First Concerto of Beethoven takes on a distinctive character, especially in the impetuous finale, which intriguingly echoes the rhythm of Southern American folk music.
Jueves 17 octubre 2024, 19:30 Pasado
Adriano Heitman
Jonathan Nott conductorMartha Argerich piano
Maurice Ravel Le Tombeau de Couperin, for orchestra Ludwig van Beethoven Concerto for piano and orchestra No. 1 in C major , Op. 15Symphony No. 8 in F major , Op. 93
Martha Argerich , long-time resident of Geneva, and one of our dedicated soloists, regularly gracing our concerts with her presence. When her skilful fingers dance across the keys, the young Beethoven’s 1st Concerto takes on a distinctive character, especially in the impetuous finale, which intriguingly echoes the rhythm of Southern American folk music. This musical journey will be framed by two works evoking the past: A dive into Louis XIV’s France and eminent harpsichord masters; among these, Ravel’s exquisite Tombeau de Couperin , his poignant tribute to friends lost on the battlefields of World War I. At the height of his glory, Beethoven turns to his mentor Joseph Haydn, father of the symphony, with his lively Symphony No. 8 . Playful like his elder, he cleverly mimics the unbearable, incessant tick-tock of the metronome, newly invented by his friend Mälzel, in the second movement, replacing the usual slow progression. Audible quirks in the mechanism reveal the faltering orderly cadence…
Une soirée mémorable avec Martha Argerich, Jonathan Nott et l’Orchestre de la Suisse Romande Martha Argerich interprétera le Premier Concerto du jeune Beethoven qui revêt un caractère unique, spécialement dans le finale endiablé, curieusement proche de la musique populaire sud-américaine.
Jueves 17 octubre 2024, 19:30 Pasado
Adriano Heitman
Jonathan Nott directionMartha Argerich piano
Maurice Ravel Le Tombeau de Couperin, pour orchestre Ludwig van Beethoven Concerto pour piano et orchestre n° 1 en ut majeur , op. 15Symphonie n° 8 en fa majeur , op. 93
Citoyenne genevoise depuis longtemps, Martha Argerich est aussi une des fidèles solistes de nos concerts. Sous ses doigts ensorcelants, le Premier Concerto du jeune Beethoven revêt un caractère unique, spécialement dans le finale endiablé, curieusement proche de la musique populaire sud-américaine. Il sera encadré par deux œuvres se remémorant le passé: une plongée dans la France de Louis XIV et des grands maîtres du clavecin, avec l’exquis Tombeau de Couperin que Ravel a dédié à des amis morts sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale. Au faîte de sa gloire, Beethoven se tourne lui vers son maître Joseph Haydn, père de la symphonie, avec la pétulante Symphonie n° 8 . Facétieux comme son aîné, il imite le tic-tac insupportable du métronome, que son ami Mälzel venait d’inventer, dans le deuxième mouvement remplaçant le traditionnel mouvement lent. On y entend clairement la mécanique qui parfois se détraque…