Bio-Urne et cercueil en carton. L’essor des funérailles vertes
Les idéologies environnementales s’invitent à la table des morts. L’imaginaire de la mort et les pratiques funéraires occidentales évoluent depuis les années 60. Le coût écologique engendré par les rites funéraires fait émerger des réflexions individuelles.
Connaissez-vous par exemple le concept de « forêt cinéraire » dont la première en France vient d’ouvrir à Arbas en Occitanie ?
Que vous souhaitiez devenir un arbre avec la Bio-Urne, commander un cercueil en carton produit en Alsace, ou que votre dernière volonté soit « l’humusation », les possibilités écologiques ainsi que les demandes se multiplient.
Mais tout cela est-il légalement possible? Qu’a-t-on le droit de faire aujourd'hui en France et chez nos voisins ? Et le défunt a-t-il tout simplement des droits ?
Limiter notre impact sur la planète à notre mort devient un sujet d'intérêt. Ce thème vous interpelle, vous intéresse ou vous questionne ? Alors prenons le temps d’en discuter ensemble avec des experts et juristes.
Avec
Clément Legrand, diplomé d’un Master en anthropologie de l’Université de Toulouse, étudie le rapport aux défunts et à la mort dans les lieux funéraires naturels.
Maître Mathieu Touzeil Divina, professeur de droit public à l'Université Toulouse 1 Capitole, Président du Collectif l'Unité du Droit et initiateur du Traité des nouveaux droits de la mort.
Rendez vous conçu en partenariat avec la Maison des Sciences de l'Homme et de la Société de Toulouse
Accès libre et gratuit dans l'Auditorium - 180 places
Accès pour personne à mobilité réduite
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Crédit image : ©zebeloune22