RIRE (POUR EN FINIR AVEC SOI-MÊME), SARA SELMA DOLORÈS
De quoi peut-on rire ? Peut-on parler de « rire de classe » ? RIRE (pour en finir avec soi-même) dynamite les certitudes, bouscule les normes et transforme la scène en un méta-cabaret jubilatoire.

Alice Piemme
De quoi peut-on rire ? Peut-on parler de « rire de classe » ? RIRE (pour en finir avec soi-même) dynamite les certitudes, bouscule les normes et transforme la scène en un méta-cabaret chaotique et jubilatoire.
Le rideau s’ouvre sur une diva en équilibre instable sur un grand escalier. La grâce vacille, l’accident guette. Mais non. Elle tient. Elle joue. Elle jubile. Sara Selma Dolorès, mi-bouffon, mi-philosophe de comptoir, mène la danse. Ce cabaret irrésistible, qui dynamite les codes du burlesque avec plumes et paillettes, numéros de chant et d’effeuillage, n’a rien d’innocent.