La déambulation commence devant la médiathèque Marc Bernard, avec les textes de Peggy Frecon, accrochés à la manière du linge à sécher, et les cinquante portraits d’habitants du quartier, saisis par Claude Corbier.

Le graff de Yann Foa nous amène jusqu’à la Colline aux Oiseaux. Là, tricots, patchworks et autres assemblages tissés, donnent un cadre coloré au rap-slam de Benoît Bastide.

Après la pause théâtrale place David avec le spectacle MADAM devant les graffs conçus par Luce et un groupe de femmes du quartier, direction rue Utrillo, toujours en musique !

Sur plus de cent mètres, on découvre la fresque réalisée par Grumo et Supo Caos avec les jeunes de Pissevin. Sur le thème des liens qui unissent le centre historique et le quartier, on y croise le crocodile et le taureau, emblèmes de Nîmes, tirant des chars d’immeubles de Pissevin, l’église Saint-Baudile et les Arènes au milieu de fleurs majestueuses…

En rejoignant la place Debussy, les immeubles Castor et Pollux nous révèlent aussi leurs secrets.

Retrouvez le programme complet d'Urbanissime et des Journées nationales de l'architecture 2018 à Nîmes en suivant ce lien :

https://www.nimes-tourisme.com/images/PDF/PROG_URBANISSIME_2018.pdf