C’est la danse des poupées gigognes : ça s’emboite et se désemboite.
Ces cinq-là se connaissent si bien qu’ils communiquent avec le corps de manière indicible. Chacun danse d’une manière qui lui est propre, et, par le biais d’une magie corporelle, va incruster ses modules chorégraphiques à l’intérieur des autres modules chorégraphiques.
Ils s’appellent Oriana, Christian, Ernest, Benjamin, Claude, et inter-agissent au regard de l’actualité, se demandant ce que danse et création peuvent vouloir dire...