"GAZA DEPUIS LE 7 OCTOBRE"

Film montage d’Aymeric Caron, diffusé à l’Assemblée nationale le 29 mai 2024

Documentaire - 94min. VOSTF

séance unique en présence du député Aymeric Caron,

en partenariat avec Ciné-Palestine Toulouse Occitanie, les Amis du Monde Diplomatique, Toulouse Palestine Solidarité et l’AFPS

« Ce film est écrasant, effroyable… Voilà ce qu’est vraiment la supposée “guerre contre le Hamas”. Cette réalité terrible doit être montrée crûment. Il est bon que ce film puisse être vu. On aimerait qu’il soit vu en Israël. »
- Rony Brauman (Médecin, essayiste, ex-président de Médecins Sans Frontières)

Âmes sensibles s’abstenir…
Dès les premières minutes de visionnage, on voudrait que le film s’arrête, que ça cesse immédiatement… que cessent les crimes, que cesse le feu, que tout ça n’ait jamais existé. Le député Aymeric Caron a organisé à l’Assemblée nationale, le 29 mai dernier, une séance de ce film de montage de documents bruts. Seulement 17 députés ont assisté à la projection, quelques journalistes étaient présents. Les camarades de la coopérative les Mutins de Pangée ont alors mis sur leur site, « à disposition de tous ceux qui veulent le voir » selon le vœu d’Aymeric Caron, ce film « terrible, insoutenable… mais nécessaire. Car, au-delà de tous les discours et de “la guerre des mots” qui montrent le visage assez délirant de l’environnement politico-médiatique dans lequel on baigne en France, ces images documentent les crimes de guerre perpétrés, dans une démocratie, par l’autoproclamée “armée la plus morale du monde”. Des crimes commis avec des armes fournies en grande partie par les États-Unis et l’Union européenne, l’Allemagne surtout et même la France comme l’ont révélé Disclose et Marsactu ». (CinéMutins).

Les Mutins et Aymeric Caron souhaitant, pour d’évidentes raisons morales, sortir ce film du champ commercial, nous avons décidé de cette séance exceptionnelle à « prix libre » et dont les bénéfices seront reversés aux humanitaires intervenant à Gaza et dans les territoires palestiniens.

Le film contient beaucoup d’images du journaliste palestinien Motaz Azaiza, aujourd’hui en exil, et qui a reçu le prix Liberté à Caen, décerné par la région Normandie avec l’Institut international des droits de l’homme et de la paix (Le Monde, 17 juin 2024)