Hiroshima, my Love
Screening at the Cinéma du Grütli
Thursday 11 December, 20:00
Conditions
Full price: CHF 10.– / Special AMIDUMIR rate: CHF 8.–
image tirée du film " Hiroshima mon amour"
As this year draws to a close — marking the eightieth anniversary of the atomic bombings of Japan — the Cinémas du Grütli and the International Museum of the Reformation are joining forces for an exceptional evening centered around the film Hiroshima mon amour.
The screening of this French-Japanese co-production directed by Alain Resnais is part of the exhibition Apocalypses. What Did You See in Hiroshima? conceived by artist and photographer Nicolas Crispini, and presented at the MIR until January 11. Mentioned several times throughout the museum’s galleries, this iconic 1959 New Wave film explores the themes of memory and forgetting.
A French woman, in Hiroshima to shoot a film, meets a Japanese man. Between them unfolds a brief yet intense love story, haunted by the pain of remembrance — war, loss, and the impossibility of fully expressing one’s trauma. “You saw nothing in Hiroshima. Nothing.” The voice of Eiji Okada repeats to Emmanuelle Riva, a haunting reminder that some wounds surpass memory itself.
The screening will be preceded by a ten-minute introduction by Nicolas Crispini, curator of the exhibition, and Gabriel de Montmollin, director of the MIR.
Hiroshima mon amour
Projection aux Cinémas du Grütli
Thursday 11 December, 20:00
Conditions
Full price: CHF 10.– / Special AMIDUMIR rate: CHF 8.–
image tirée du film " Hiroshima mon amour"
En cette fin d’année ayant marqué le quatre-vingtième anniversaire des bombardements atomiques sur le Japon, les Cinémas du Grütli et le Musée International de la Réforme s’associent lors d’une soirée exceptionnelle autour du film Hiroshima mon amour.
La projection de cette production franco-nippone réalisée par Alain Resnais s’inscrit dans le cadre de l’exposition Apocalypses. Qu’avez-vous vu à Hiroshima ? conçue par l’artiste et photographe Nicolas Crispini, et présentée au MIR jusqu’au 11 janvier. Évoqué à plusieurs reprises dans les salles du musée, ce film emblématique de la Nouvelle Vague, sorti en 1959, questionne la mémoire et l’oubli.
Une Française, venue tourner un film à Hiroshima, y rencontre un Japonais. Entre eux naît une histoire d’amour brève et intense, traversée par la douleur des souvenirs : la guerre, la perte, l’impossibilité de tout dire. « Tu n’as rien vu à Hiroshima. Rien » – répète inlassablement, la voix d’Eiji Okada à Emmanuelle Riva, rappelant que certaines blessures dépassent la mémoire elle-même.
La séance sera précédée d’un éclairage d’environ dix minutes proposé par Nicolas Crispini, commissaire de l’exposition et Gabriel de Montmollin, directeur du MIR.
