« La danse macabre pour les poupées de Michel Nedjar » est simultanément théâtre de marionnettes, tableau vivant et théâtre d’ombres, théâtre de la mémoire et monument aux victimes de la Shoah.

Ce théâtre n’est pas une scène pour fixer les événements traumatiques de l’histoire, mais un dispositif pour les transformer dans le sens d’une plus grande clarté, pour créer une continuité avec l’histoire et une projection vers l’avenir, voire un mode de conciliation avec le destin.